
Textures alimentaires : vers une prise en charge plus sûre avec la classification IDDSI
Les troubles de la déglutition touchent jusqu’à 60 % des personnes âgées en établissement. Pour garantir leur sécurité alimentaire, une adaptation des textures est indispensable… mais encore faut-il parler le même langage.
C’est l’objectif de la classification IDDSI, désormais adoptée en France. Ce référentiel international standardise les textures et les liquides en 8 niveaux (de 0 à 7), avec des tests simples (cuillère, fourchette, seringue) et des codes couleurs. Fini les termes flous comme « haché fin » ou « purée fluide » : place à une nomenclature claire, partagée par tous les professionnels.
💡 Pour les établissements (EHPAD, hôpitaux…), cette classification permet :
-
une meilleure sécurité pour les patients dysphagiques,
-
une communication fluide entre soignants, cuisiniers et fournisseurs,
-
une meilleure cohérence des pratiques, notamment en restauration collective.

Textures alimentaires : vers une prise en charge plus sûre avec la classification IDDSI
Les troubles de la déglutition touchent jusqu’à 60 % des personnes âgées en établissement. Pour garantir leur sécurité alimentaire, une adaptation des textures est indispensable… mais encore faut-il parler le même langage.
C’est l’objectif de la classification IDDSI, désormais adoptée en France. Ce référentiel international standardise les textures et les liquides en 8 niveaux (de 0 à 7), avec des tests simples (cuillère, fourchette, seringue) et des codes couleurs. Fini les termes flous comme « haché fin » ou « purée fluide » : place à une nomenclature claire, partagée par tous les professionnels.
💡 Pour les établissements (EHPAD, hôpitaux…), cette classification permet :
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une meilleure sécurité pour les patients dysphagiques,
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une communication fluide entre soignants, cuisiniers et fournisseurs,
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une meilleure cohérence des pratiques, notamment en restauration collective.