Pratiques déviantes en nutrition (non scientifiquement prouvées et dangereuses pour les usagers du système de santé)
L'AFDN est membre de la Fédération Française de Nutrition et à ce titre elle relaie le communiqué de presse réalisé conjointement avec Réseau NACRe pour alerter sur les dangers du jeûne chez les personnes atteintes de pathologies, et pour lutter contre la désinformation sur le sujet.
Communiqué de presse
⚠️ La Fédération Française de Nutrition et ses sociétés, ainsi que le Réseau NACRe appellent à la plus grande vigilance face à la pratique de jeûnes, surtout pendant un cancer.
Nous alertons sur les nombreux messages circulant dans les médias, sur les réseaux ou pendant certaines conférences, prêtant des allégations anti-cancer ou bénéfiques à la pratique du jeûne.
Il faut rappeler qu'à l'exception de rares pathologies (comme l'épilepsie réfractaire avec un régime cétogène spécifique et encadré par un professionnel de santé), il n'y a pas de preuves scientifiques valides chez l'Homme, notamment d'essais d'intervention bien menés, permettant de conseiller le jeûne comme solution thérapeutique ou en prévention primaire des cancers.
Le jeûne n’est pas sans risque, et peut déclencher ou aggraver la dénutrition et la perte musculaire, facteurs de risque d’échec thérapeutique et de mortalité.
L'AFDN a récemment signalé et alerté sur le sujet lors d'un échange avec le ministère de la santé, notamment en instant sur les problèmes causés par l'absence dans la loi du délit de "pratique illégale de la diététique et de la nutrition" pour protéger les usagers contre les "pseudo-nutritionnistes" aux pratiques déviantes et non fondées. Aujourd'hui, l'existence du seul délit de "pratique illégale de la médecine" n'est pas suffisant et opérant pour protéger les français contre ce fléau à l'oeuvre partout et demain dans un congrès.
Défendons les "Interventions non-médicamenteuse INM" comme "concept pour lever les ambiguïtés sur les médecines douces et complémentaires", afin de recentrer et penser l'exercice de la diététique et de la selon des considérations éthiques.
Pratiques déviantes en nutrition (non scientifiquement prouvées et dangereuses pour les usagers du système de santé)
L'AFDN est membre de la Fédération Française de Nutrition et à ce titre elle relaie le communiqué de presse réalisé conjointement avec Réseau NACRe pour alerter sur les dangers du jeûne chez les personnes atteintes de pathologies, et pour lutter contre la désinformation sur le sujet.
Communiqué de presse
⚠️ La Fédération Française de Nutrition et ses sociétés, ainsi que le Réseau NACRe appellent à la plus grande vigilance face à la pratique de jeûnes, surtout pendant un cancer.
Nous alertons sur les nombreux messages circulant dans les médias, sur les réseaux ou pendant certaines conférences, prêtant des allégations anti-cancer ou bénéfiques à la pratique du jeûne.
Il faut rappeler qu'à l'exception de rares pathologies (comme l'épilepsie réfractaire avec un régime cétogène spécifique et encadré par un professionnel de santé), il n'y a pas de preuves scientifiques valides chez l'Homme, notamment d'essais d'intervention bien menés, permettant de conseiller le jeûne comme solution thérapeutique ou en prévention primaire des cancers.
Le jeûne n’est pas sans risque, et peut déclencher ou aggraver la dénutrition et la perte musculaire, facteurs de risque d’échec thérapeutique et de mortalité.
L'AFDN a récemment signalé et alerté sur le sujet lors d'un échange avec le ministère de la santé, notamment en instant sur les problèmes causés par l'absence dans la loi du délit de "pratique illégale de la diététique et de la nutrition" pour protéger les usagers contre les "pseudo-nutritionnistes" aux pratiques déviantes et non fondées. Aujourd'hui, l'existence du seul délit de "pratique illégale de la médecine" n'est pas suffisant et opérant pour protéger les français contre ce fléau à l'oeuvre partout et demain dans un congrès.
Défendons les "Interventions non-médicamenteuse INM" comme "concept pour lever les ambiguïtés sur les médecines douces et complémentaires", afin de recentrer et penser l'exercice de la diététique et de la selon des considérations éthiques.