Le 23 octobre 2025, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a publié un avis scientifique dédié aux ruptures de sédentarité chez les adultes et les enfants (consulter le rapport complet – PDF).
Un constat préoccupant
L’Anses rappelle que la sédentarité prolongée, caractérisée par un temps assis ou allongé éveillé élevé, constitue un facteur de risque indépendant de plusieurs maladies chroniques (diabète de type 2, maladies cardiovasculaires, certains cancers) et d’une augmentation de la mortalité toutes causes confondues.
Même chez les personnes pratiquant une activité physique régulière, des périodes prolongées sans mouvement peuvent nuire à la santé.
Des recommandations pour tous les environnements
Dans cette nouvelle expertise, l’Agence recommande de favoriser des ruptures régulières de la position assise, quel que soit le contexte :
-
en milieu professionnel, en encourageant les micro-pauses actives, les déplacements ou l’usage d’espaces adaptés ;
-
dans les établissements scolaires, en alternant les postures pendant les cours et les activités ;
-
dans la vie quotidienne, en intégrant des moments de mouvement au fil de la journée (se lever, marcher, étirer, changer de position…).
L’Anses insiste sur l’importance de varier les opportunités de mouvement et de créer des environnements favorables à ces changements de posture, afin de faciliter leur adhésion et leur intégration durable dans les habitudes.
Un enjeu de santé publique
Ces recommandations s’inscrivent dans une logique de prévention globale, complémentaire à la promotion de l’activité physique. L’objectif est d’encourager la population à réduire le temps total passé assis et à interrompre régulièrement la sédentarité, dès le plus jeune âge.
Se lever ou bouger toutes les 30 à 60 minutes est bénéfique pour la santé.
Les ruptures de sédentarité complètent, sans la remplacer, la pratique d’une activité physique régulière.
Les environnements de travail, scolaires et domestiques doivent être pensés pour favoriser le mouvement.
Le 23 octobre 2025, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a publié un avis scientifique dédié aux ruptures de sédentarité chez les adultes et les enfants (consulter le rapport complet – PDF).
Un constat préoccupant
L’Anses rappelle que la sédentarité prolongée, caractérisée par un temps assis ou allongé éveillé élevé, constitue un facteur de risque indépendant de plusieurs maladies chroniques (diabète de type 2, maladies cardiovasculaires, certains cancers) et d’une augmentation de la mortalité toutes causes confondues.
Même chez les personnes pratiquant une activité physique régulière, des périodes prolongées sans mouvement peuvent nuire à la santé.
Des recommandations pour tous les environnements
Dans cette nouvelle expertise, l’Agence recommande de favoriser des ruptures régulières de la position assise, quel que soit le contexte :
-
en milieu professionnel, en encourageant les micro-pauses actives, les déplacements ou l’usage d’espaces adaptés ;
-
dans les établissements scolaires, en alternant les postures pendant les cours et les activités ;
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dans la vie quotidienne, en intégrant des moments de mouvement au fil de la journée (se lever, marcher, étirer, changer de position…).
L’Anses insiste sur l’importance de varier les opportunités de mouvement et de créer des environnements favorables à ces changements de posture, afin de faciliter leur adhésion et leur intégration durable dans les habitudes.
Un enjeu de santé publique
Ces recommandations s’inscrivent dans une logique de prévention globale, complémentaire à la promotion de l’activité physique. L’objectif est d’encourager la population à réduire le temps total passé assis et à interrompre régulièrement la sédentarité, dès le plus jeune âge.
Se lever ou bouger toutes les 30 à 60 minutes est bénéfique pour la santé.
Les ruptures de sédentarité complètent, sans la remplacer, la pratique d’une activité physique régulière.
Les environnements de travail, scolaires et domestiques doivent être pensés pour favoriser le mouvement.