
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a lancé une nouvelle directive visant à encadrer l’utilisation des substituts de sel à faible teneur en sodium (LSSS). Cette initiative s’inscrit dans une stratégie globale de réduction de la consommation de sodium, un enjeu majeur de santé publique.
Un enjeu de santé publique mondial
Chaque année, 1,9 million de décès sont liés à une consommation excessive de sodium. L’OMS recommande un apport inférieur à 2 g de sodium par jour, alors que la moyenne mondiale s’élève encore à 4,3 g/jour.
Face à ce constat, des actions renforcées sont nécessaires pour atteindre l’objectif de réduction de 30 % de la consommation de sodium d’ici 2030.
Les substituts de sel : une solution prometteuse
Les LSSS sont des alternatives au sel classique contenant moins de sodium, souvent remplacé en partie par du chlorure de potassium. Leur usage est reconnu pour réduire la tension artérielle et le risque de maladies cardiovasculaires. Toutefois, leur utilisation doit être encadrée, notamment en raison des risques liés à l’hyperkaliémie, particulièrement pour les personnes souffrant d’insuffisance rénale.
Une directive basée sur des données scientifiques
Cette nouvelle ligne directrice de l’OMS vise à accompagner les États dans la mise en place de politiques de réduction du sodium tout en garantissant la sécurité des consommateurs. Elle apporte des recommandations claires sur l’intégration des LSSS dans les stratégies de santé publique et détaille les meilleures pratiques pour leur mise en œuvre.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a lancé une nouvelle directive visant à encadrer l’utilisation des substituts de sel à faible teneur en sodium (LSSS). Cette initiative s’inscrit dans une stratégie globale de réduction de la consommation de sodium, un enjeu majeur de santé publique.
Un enjeu de santé publique mondial
Chaque année, 1,9 million de décès sont liés à une consommation excessive de sodium. L’OMS recommande un apport inférieur à 2 g de sodium par jour, alors que la moyenne mondiale s’élève encore à 4,3 g/jour.
Face à ce constat, des actions renforcées sont nécessaires pour atteindre l’objectif de réduction de 30 % de la consommation de sodium d’ici 2030.
Les substituts de sel : une solution prometteuse
Les LSSS sont des alternatives au sel classique contenant moins de sodium, souvent remplacé en partie par du chlorure de potassium. Leur usage est reconnu pour réduire la tension artérielle et le risque de maladies cardiovasculaires. Toutefois, leur utilisation doit être encadrée, notamment en raison des risques liés à l’hyperkaliémie, particulièrement pour les personnes souffrant d’insuffisance rénale.
Une directive basée sur des données scientifiques
Cette nouvelle ligne directrice de l’OMS vise à accompagner les États dans la mise en place de politiques de réduction du sodium tout en garantissant la sécurité des consommateurs. Elle apporte des recommandations claires sur l’intégration des LSSS dans les stratégies de santé publique et détaille les meilleures pratiques pour leur mise en œuvre.